25 mai 2013
Pour une métaphysique du vide
Après ce voyage étonnant dans les couloirs de la folie en bien belle compagnie, il faut que j'arime mon bthyscaphe à sa balise d'errence. A nouveau en chambre d'isolement, j'écris pour ne pas perdre le contact avec moi-même. Sur la surface mouvante des ondulations entoilées j'entaille de ces phrases creuses qui s'éloignent de moi en écho. Elles richochent sur d'étonnantes parois métalliques. Elles sont les portes de mon enfermement, drogué de vous qui n'êtes pas je suis donc en manque !
Breuvages alcooliques aidez moi...
Visite interblog
Publicité
Publicité
Commentaires