22 août 2013
Ivan goes to Hollywood... one more time !
Et hop une petite poésie que je vous envoie de Nice où je passe mes vacances dans la joie et l'allégresse. Si si, on pourrait croire le contraire en lisant la jolie poésie mais si, si ! Et pas que impératrice ...
PS j'ai mis une jolie couleur pour faire genre des fleurs et du soleil !
Voir c’est déjà du cinéma… ou presque !
L’œil dans l’œil voit
Alors le faisceau qui broie la cervelle
Là où se love l’envie de l’ogre
De son œil dédoublé
Il est par deux fois cyclopéen
En une infinité dépliée
Il veut avaler l’origine
Le gouffre insondable
Où se perd la pensée
La primauté du vouloir savoir
Quand la féminité nous parle
silencieusement
En l’absence de toute brutalité
Elle nous dit comment elle ravage
Notre structural émoi
Œil cesse de grignoter
Cesse de bouloter
jusqu’à la nausée
Nos âmes délaissées
Jetées là en pâture derrière
De hauts murs aux circonvolutions
Interminables
N’ont de cesse,
De la spectrale aube
A la mort du jour
Que de chercher l’organique
Vérité du monde
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